
Y’a Quelqu’un ? au Théâtre de Belleville : Angélus, le clown d’Hervé Langlois, se retrouve seul le jour de son anniversaire. Tendre et attachant, il souffre, s’angoisse, et emporte le spectateur sur des montagnes russes, entre empathie et tristesse.
Y’a Quelqu’un ? au Théâtre de Belleville : Angélus, le clown d’Hervé Langlois, se retrouve seul le jour de son anniversaire. Tendre et attachant, il souffre, s’angoisse, et emporte le spectateur sur des montagnes russes, entre empathie et tristesse.
Le joueur de Dostoïevski dans le cadre du festival NTA – Nouveau Théâtre de l’Atalante : une double mise en abîme par Aurélien Piffaretti et Philippe Cotten, dans la perspective d’un tableau de Magritte, dans celle de sa douleur quand elle devient savoureuse.
Songe à la Douceur au Théâtre Paris Villette : entre comédie musicale et opéra rock, un beau spectacle optimiste, à savourer autant pour sa forme que pour son invitation à profiter de l’instant présent, à laisser la raison prendre le pas sur la morale
La Défense devant les Survivants à l’Échangeur Bagnolet : un beau spectacle de Clara Chabalier et Adèle Chaniolleau qui nous alertent, la technologie pour que l’éternel recommencement de l’histoire se produise au sens le plus propre des mots. Beau, et glaçant.
Pluie Fine aux Déchargeurs : une jeune femme, dans l’antichambre de la mort, face à ses souvenirs, choisit son avenir. Une pièce rassurante, bienveillante, une belle distribution dans une ambiance onirique. Un coup de cœur pour ce beau spectacle créatif à ne pas rater.
Lennon et McCartney à La Folie Théâtre : derrière Lennon et McCartney, l’ossature des Beatles, il y a John et Paul, les hommes. Et Yoko. Germain Récamier imagine leurs retrouvailles, leurs projets, leurs rancœurs, derrière la légende, il y avait deux hommes. Et une femme.
Farf is a aux Déchargeurs : étrange et déroutant, un peu kitsch sur la forme et sur le fond, un spectacle naïf et touchant que les trentenaires ciblés apprécieront en bande.
Le Manteau de Gogol au Théâtre de l’Opprimé : Serge Poncelet donne une belle vision de ce texte qui décrit si bien les petites gens, pour un très joli rendu, plein de poésie. Un spectacle dont on savoure le rendu, et dont on sort en réfléchissant.
The Wine Lady aux Déchargeurs : entre spectacle et dégustation, Noélie Morizot raconte la place du vin dans sa vie de trentenaire. Un format original, qui se laisse déguster, une rencontre sympathique, qu’on aimerait approfondir.
Tomber dans les arbres aux Déchargeurs : Camille Plocki nous invite à l’enterrement festif de son grand père Maurice, nous emmène dans une réflexion sur l’importance des chants de l’enfance pour la mémoire de l’histoire, pour la solidité des racines