
Je m’appelle Adèle Bloom : un sujet pas facile, une jeune femme dans le piège de la psychiatrie en 1950. Sur le texte de Franck Harscouët, Armelle Deutsch est magnifique. Une pièce splendide, à voir absolument.

Je m’appelle Adèle Bloom : un sujet pas facile, une jeune femme dans le piège de la psychiatrie en 1950. Sur le texte de Franck Harscouët, Armelle Deutsch est magnifique. Une pièce splendide, à voir absolument.

Mademoiselle Gazole : une dystopie de Nicolas Turon rendue avec poésie par Laura Zauner, Georges Vauraz et la marionnette de Mademoiselle. A voir parce qu’un monde où la famille nucléaire a disparu, ça fait peur. A voir pour se souvenir qu’elle est essentielle.

Amours – Phénix Festival : Vanessa Sanchez adapte la satire sociale de Léonor de Recondo, Aurélia Poirier, solaire, porte la mémoire et les rêves de cette petite bonne qui s’efface après avoir cimenté l’avenir d’un couple de provinciaux mal apparié. Un spectacle composite, que chacun appréciera selon le filtre de sa sensibilité et de ses goûts

La disparition d’Agatha Christie : pour l’histoire vraie revendiquée par le titre, pour explorer la fin d’un couple, pour réaliser que vengeance et reconquête sont bien proches, pour les fulgurences offertes aux acteurs